Les meilleures phrases de Lonepsi

"Comment vivre avec le fait que mes nuits durent des jours ?"

"Comme ce matelot qui mate l'océan, je me suis demandé si mon talon d'Achille était mon talent"

"Comment se conjuguer avec autrui sans savoir ce que les maux sont ? J’ai déjà foncé dans un mur à la vitesse de mes émotions"

"Faites qu'il pleuve, que la pluie efface nos erreurs, faites qu'il pleuve, que l'orage tombe"

"La légèreté est confortable, plus confortable que n'importe quel acharnement"

" (Si je pouvais remonter le temps comme Makoto) J'examinerais mieux ton sourire pour comprendre autrement l'histoire qui se cache derrière, je rejouerais nos adieux pour faire en sorte que cette scène ne soit pas la dernière"

"Je traverserais la nuit précédente pour plonger dans le matin de notre relation"

"Au fond de tes yeux je vois encore ces ruelles, celles qu'on arpentait pour revenir chez soi "

"La lune éclairait ton visage et déshabillait tes énigmes, elle auscultait nos pensées, mélangeait nos corps et nos esprits

"Je cherche à retrouver ton parfum sur une passante que je ne reverrai jamais de la vie"

"Et s'il ne me restait plus qu'une opportunité pour modifier mon destin je plongerais mes yeux dans la direction qu'empruntent plus courageusement les tiens"

"Mes cheveux dans l'herbe et les tiens près de mon torse, je ne t'ai jamais vu si loyale. Lorsque j'en bois trop, tous les chemins me mènent à toi, mais tu demeures à jamais injoignable..."

"J'ai peur de ne pas commettre mes rêves, de ne parvenir au bout"

"Amoureux de ma cigarette et de sa connotation tragique, belle combinaison quand les deux fumées se marient dans l'air, privé mon cœur de ces odeurs c'est comme le faire partir en guerre"

"Je fais du sale pour qu'il morde la poussière, j'aurais honte si j'étais devenu ce que vous êtes"

"Bien que mes sentiments peuvent tenir dans le noyau d'un atome, j'aime sentir le parfum de sa danse effleurer ma peau"

"J'éviterai de m'attacher trop fort, car je sais que les sentiments peuvent provoquer des lésions. Fatalement, ce qui me fait du mal me fait du bien"

"J'écris pour changer la mélancolie en de la nostalgie, faire des ces malheureux moments autre chose que du tragique"

"Toutes les courbes de ton corps viennent envelopper le report de mon regard, même le ciel étoilé devient ringard"

"Les bras grand ouverts sous la pluie je me sens immortel, je deviens plus riche que le plus riche des millionnaires. Faisons des kilomètres, allons remplir nos verres et écrivons sur du papier plus de mille promesses"

"Mais c'est pas demander pardon qui tout d'un coup nous rend saint non: Ça nous rend cinglés, sous différents angles. On se croit tout permis, même planer au-dessus des aigles"

"Je ne suis pas seul, je suis bien avec ma solitude, les autres s'imaginent que je suis victime d'une folie sûre"

"Plus je vous connais et plus les gens simplets m'attirent, je dois cicatriser vite avant que toutes ces plaies m'enterrent"

"Ressens ton enfance autrement qu'un souvenir joliment brûlé, en fait, ressens que le gosse qui vit en toi est plus vivant que jamais"

"Mes fugues illusoires que je m'invente par la pensée, les symphonies de quelques rires qui m'éloignent d'où je suis, puis l'isolement dans un océan de silence"

"Si tu aperçois mon cœur, dis lui de revenir sans toi. Jette-le moi avec prudence comme un enfant d'une balançoire"

"Sur la Terre, il n'y a pas qu'la gravité qui m'attire, je ne fermerai pas ma gueule jusqu'à que l'on m'enterre"

"Indécis comme un suicidaire mort de vieillesse"

"Peu m'importe la distance, si je te veux je t'aurai, y compris s'il faut traverser l'équivalent d'un torrent"

"Parfois il est maladroit et pense que la nuit son bonheur, se mêle au drame, passant de la peine aux larmes"

"Pendant que nos camarades se mettaient dans les études on s'enfermait dans un sous-sol, en verouillant dans la serrure. On arpentait le bonheur, on l'avait quasiment détenu, on pensait que quoi qu'il arrive on ne serait jamais déçus"

"Il aperçut l'homme au tablier, en l'interpellant d'une main, concentré dans sa lecture, il n'y prêta pas attention. Mais l'homme au costard, décidé, fit la suivante intervention : - Demande-moi n'importe quoi et je te le donnerai - Peux-tu t'écarter, répondit-il, tu es devant le soleil"

"Allons se rencontrer par pur hasard, sans faire exprès. Parlons-nous avec les yeux jusqu'à qu’on ait l’air bête, avec ma cigarette, je fumerai toutes nos faiblesses et nos cœurs ne connaîtront plus jamais le mot sécheresse"

"Là, le chagrin de la fille part et vient se confondre avec son verre de martini: Tandis que celui de l'homme est apparemment parti vite. Il appelle un de ses amis, et lui annonce la nouvelle fâcheuse; contents de l'apprendre, ils partent se bourrer la gueule"

"Notre rencontre a été le moment où le hasard était devenu prévisible"

"Ressens la dangerosité de cette fleur qui ne deviendra belle qu'à compter du moment où l'on apprendra qu'elle fanera un jour"

"Le temps qui passe autour de nous est un vase rempli de petits miracles, je suis certain que sans cela un poison mortel peut devenir vital"

"La nudité de nos pensées restera secrète le temps qu'il faut"

"Tes yeux sont le filtre par lequel l'instant peut devenir un souvenir, aussi te regarder par le reflet fera que je ne te porte aucun rêve"

"Les secondes et les minutes immobiles, les heures passées avec toi m'ont fait rompre avec le temps"

"J'entends bien que vos cœurs causent: Mais quand je vous fais don d'un présent, vous vous tendez l'autre paume, putain"

"L'insomniaque rêve autant que celui qui dort au long de la nuit"

"À quoi servent les mots à celui qui est face à la mort; À quoi servent les mots à celui qui est face à la vie; Moi, je suis en danger de mot pas en danger de mort; Mes textes sont des testaments j'y lègue de l'or"

"La nuit éclaire mes questions sans solutions: Elle et moi parlont peu car j'aime quand c'est silencieux"

"La compagnie d'un autre peut rendre l'univers bien moins répugnant, les secondes que tu vis moins pesantes et chaque instant passé plus poignant"

"Je fais face à tous mes malheurs en remplissant de mots la feuille"

"Pourquoi les amitiés se révèlent si décevantes ? Plus le temps passe et plus ces idées me hantent"

"Ma raison s’est faite piétiner par un troupeau de sentiments"

"Aujourd'hui bon vivant, je pars de rien, mais quand la fête se finit, le cafard revient. Comme en septembre, le buvard d'Hendrix aurait empêché que ça s'étende"

"Ma jeunesse est un orage traversé par des soleils drôlement lumineux"

"Je pourrai débrancher le soleil si un jour tu ne pouvais plus cligner des yeux, ton absence est si vénéneuse"

"Nous si on était doués, c'était pour traîner tard en ville, squatter des bars en crise où les peines pouvaient s'attendrir. Si tous les soirs on tizait, que nos pensées ralentissaient, c'était qu'on était poussés par l'envie d'oublier que nos parents criaient"

"Je m'éloigne et reviens, plus fort; attendez mon retour, avant, de déclarer que j'ai, eu tort"

"Il existe des mots que je voudrais crier mais que je n'ai même pas le courage de murmurer"

"J'ai du mal à m'endormir du fait que mes pensées parlent trop fort: Elles dialoguent et se remémorent la plupart de nos torts"

"Pourquoi m'as-tu demandé : « l'hymne de l'amour se cultive ou il s'exploite? » "

"J'ai vu la détresse à travers la vitre abîmée d'un bus arrêté : Comme si tous les maux des passagers auraient voulu s'abréger"

"La nuit c'est le noir illimité contredit par quelques étoiles, quand je veux au mieux me définir, je ne parle pas d'mes exploits"

"On sèche les cours croyant qu'à plusieurs ce n'est pas grave, on ne pense pas l'avenir et son déroulement"

"Il est vrai que je parle peu, mais mon regard en dit long : Tu pourras lire en lui toute l'étendue de mes ambitions"

"J'aurais souhaité que cette vue soit un tableau et nous dure plus d'un voyage, une peinture qui, comme une vague, s'achèverait par une incroyable noyade"'

"L'amour ça rend bête, la mort un paragraphe, la vie des parenthèses"

"Je cherche l’enfant qui s’est perdu en moi, et qui glorifie la vie avec un sourire innocent"

"Les senteurs de l'encre verte et les mots qu'elle abandonne, l'exode de mes pensées vers l'inquiétant bleu de la nuit puis l'isolement dans un océan de silence sont des croisières immobiles que j'entreprends mieux assis"

"Qu'tu viennes d'l'église, d'la synagogue ou d'la mosquée, comment guérir le mal si tout le monde est mesquin ?"

"On manquait les cours d'histoire pour aller créer la notre: Le français, les mathématiques, on prenait les devoirs d'un autre"

"Je bois beaucoup trop mais je trinque à ma santé"

"Je veux bien l'avouer d'accord, je n'ai toujours qu'un peu taffé: Ma douleur est si brûlante qu'elle me tue à petit feu. Aimer c'est pas ton fort mais tu laisses pas tes potes au fond"

"Assez, agacé de foncer contre un mur et voir mes espoirs se ramasser"

"On cherche le bonheur et tout ce qui fait sa rareté, expérimentant des choses illégales en aparté"

"Ressens les séparations, ne va pas trouver l'amnésie dans le regard d'une autre, l'oubli n'existe pas"

"J'entends ton absence qui résonne dans le creux de mon verre"

"Quand les peines s'intensifient, moi je me demande profondément si seulement le temps suffit"

"Lorsque j'étais en cours, je ne levais jamais la main: Aujourd'hui c'est impressionnant la façon dont j'aime les mots. Comme un trait d'union c'est à ces mots que je me suis rattaché"

"Lorsque tu me parles je t’écoute comme si, c’était les derniers mots que tu prononçais"

"C'est lorsque que la nuit tombe que je tombe amoureux; elle atténue mes peines, sa couleur est savoureuse'

"Si ça n'marche pas, est-ce qu'il faut courir à sa perte ?"

"Je vis la nuit puis je me meurs le jour"

"Tu viens désorienter mes sens, réveiller mon adolescence. Tu es ma seconde naissance, le frein qui contient mon essence"

"De toutes les manières ils diront que je suis parano. car pour moi les plus belles histoires commencent par un "non" "

"Tu peux fouiller dans tes souvenirs, car t’ennivrer d’une illusion réparera tes plaies, mais provisoirement, car ça n’est pas réel"

"Ressens que tu peux être absolument insignifiant pour une personne, que tu peux également bouleverser l'existence d'une autre personne"

"Je me demande si, il reste quelque chose de toi qui vit secrètement en moi"

"Enfermé dans ma chambre il y a comme un goût de drame, planqué sous le drap, l’impression que tout me lasse : je veux m'échapper mais je suis partout où que j'aille"

"La vie n'est pas un coup d'essai, cependant on grille les feux lorsqu'ils sont rouges incandescents. La peine est condensée dans des bouteilles qu'on descend"

"Pour lui, la littérature est un passe-temps soulageant, il pense que les mots donnent à la pensée une existence"

"On s'est séparés d'un coup pour une question de valeur fondée, sur des bases autant fragiles que toi quand t'as peur. Les coups de minuit sont des coups peu douloureux"

"Ressens que l'amour est mort la nuit où tu as su verbaliser ce qui t'envoûtait chez elle"

"À quoi penses-tu quand tu es seule, sans moi ? À la fleur de l'ombre qui peut pousser dans l'noir ? À celui dont le bonheur n'a pas trouvé d'endroit ? Ou à ce bateau qui rêve d'avenir sans voile ?"

"Sais-tu que ton absence est devenue mon seul refuge ? Que quand tu es là j'ai vraiment du mal et je lutte ?"

"Nous étions comme deux univers qui semblaient s'opposer, destinées que rien n'aurait pu distraire"

"Je cherche les lumières du soir qui allumeront ton sourire"

"Pourquoi pour remonter la pente je n'peux pas remonter le temps ? Cette idée est si absurde, qu'elle est d'emblée décevante"

"J'avoue rarement mes sentiments, il m'est même dur d'émettre un signe, il y a des fleurs étranges donc il faut bien taire les racines. Je suis comme un marin seul, comment peux-tu m'aimer ainsi ?"

"Dans les moments où plane un sentiment d'inquiétude; Place-toi devant ton reflet et demande-toi bien « Qui es-tu ? »"

"Ressens l'amour de tes proches comme s'il pouvait s'évaporer lors d'un soir brumeux, ressens ta vie comme si elle obéissait à la trame d'un récit fabuleux"

"Je t'écris ce soir pour ne pas t'oublier le temps de quelques vers. Ta silhouette dans la foulée, moi qui cherche infatigablement tes deux yeux. Comment parvenir à te rejoindre toi et l'époque où j'étais heureux ?"

"Sublimée, si je te parle de ma vision des choses, tu verras flou comme après une attaque de fumigènes. Au quartier ça fumait jeune, t'as connu ces fameux joints"

"Je ne sais plus ce qu'est être aimé, j'aimerais te serrer contre moi, tu occupes mes pensées la nuit depuis au moins quatre mois"

"Me dévoiler ta lumière ne condamnera pas mes rêves, prête moi tes détails et raconte moi tes échecs. L'ombre que tu montres aux autres ne m'affaiblira jamais, continuer à la répandre ne vaut par conséquent pas la peine"

"Le bonheur il y a des jours avec et des mois sans"

"Ouais, le temps passe et nos décisions nous appartiennent. On s'était jurés qu'on allait réussir pour les parents"

"À force d'écrire, mon cœur je le connais par textes"

"Viens dans mes bras dans un grand vide, nos sentiments ont ralenti: Seront-ils encore bien en vie dans dix ans... Finalement tout ça m'ennuie quand j'y pense"

"Pour se voir on devait attendre la nuit, on était finalement comme deux étoiles"

"J'ai peur de dire adieu, j'ai peur du dernier regard. J'entends la tristesse du ciel gris tomber sur le sol, s'écraser lentement sur le béton comme une clope"

"Tu es maladroite comme un enfant qui se précipite, mais je te pardonne car tu m’as sauvé de ce précipice"

"Ça pourrait te sembler étrange mais la douleur d'autrui m'esquinte"