Les meilleures phrases de Vald

"J'vais sauver les miens avant les vôtres, gros, sinon, c'est pas la peine, mais sauver les siens avant les autres, gros, c'est l'programme des Le Pen"

"Arrête tes conneries, éteins ta télé, tu vas finir par croire leurs balivernes"

"Quand j'ai fini, elle me remercie, j'l'ai remplie de joie, comme le Bercy, comme le Zénith, comme Omar Sy sur la question d'la Palestine"

"Qu'est-c'que tu racontes ? La moula ? La moula, c'est que dalle tant que tu sauves pas ton entourage, pour ça, il te faut du courage, sauter les barrages, briser les rouages"

"Là, j'me branle à mort en attendant la mort, devant l'amour de ceux qui n'font qu'un corps"

"Arrêtez d'imprimer les notices, nous n'les lisons pas"

"Comment j’peux t’faire confiance ? Tu t’vantes de surveiller l’ennemi devant ton propre miroir"

"J'fais la belle étoile, le décor est parfait, le savoir est une arme, apprends tes leçons, devant le canon, mouille ton caleçon. Ce monde est cruel comme cet hameçon, d'laquelle t'es amoureux, pauvre garçon"

"J'crache du souffre et vomis du pétrole ; l'industrie voudrait m'forer, ça m'désole"

"Pourquoi ça te fait plus de bien quand t’as mal ?"

"Les pétasses qui m'disaient : "Non", aujourd'hui chantent : "Ah ouais, ouais, ouais""

"J'pourrais trouver une autre fille bien et la mettre au centre de ma vie. Le soir, défoncée dans mes bras, elle m'expliquera le sens de la vida. Qu'est-c'qu'ils ont fait, tes amis ? Regarde bien, c'est moi ta vraie famille, avant l'divorce, on pourra s'ignorer vu la taille de la villa"

"C'est malheureux, j'suis jamais l'même à part quand je baise, j’suis malheureux, je sais qu’elle m’aime même quand je tej"

"Mashallah, frère, pour tes longues études ; si l'besoin est, gros y'a mon pécule"

"J’pense beaucoup à moi, un peu moins aux sans-abris qui ne passeront pas l’hiver"

"L'évolution n'aura fait qu'un tour : alcool et shit et on redevient des singes"

"Fixe-moi dans l'rouge des yeux, un spliff et y'a tout qui est mieux, je bois l'élixir des dieux, le sol s'ouvre sous mes beujs"

"J'lui mets la fessée comme si j'étais son père, les yeux sont vides mais les poches sont pleines"

"Bitch, pas besoin de taffer, suffit de me faire cracher, élever mes portraits crachés, la juge me fera cracher. Bitch, je suis tracé, je ne peux rien cacher. Je sais c'que je vais faire de tout cet oseille, j'vais t'le passer, pas de rapport protégé (jamais), meilleure rentabilité"

"J't'écoute, je fais l'effort déjà d'ouvrir les yeux, comprendre, c'est d'mon ressort, pardonner celui de Dieu"

"Ouais, le sexe et l'argent, ça fait tout, j'ai les deux et pourtant, ça fait rien"

"D't'façon, même quand j'veux donner d'l'amour, elle est prise de spasmes"

"Le teint pâle et l'âme noire, l'horizon grisonnant"

"Y'a qu'moi qui t'aimeras toujours sans condition. Les autres demanderont du rêve, du sexe, du 'seille ou juste que tu sois à leur disposition"

"J'f'rai pas d'généralité mais, franchement, les meufs sont res-du, le gentil garçon que j'étais s'en souvient dans son lit, j'ai douté de tout, merde, à m'en couper le cou, j'étais sûr d'être le 'blème. La preuve en est, j'me suis amélioré, et c'est maintenant qu'on m'aime. C'est pas des lol, j'ai dit "deviens génial", deviens spécial, ah ouais, dans l'pire du pire, tu pourrais trouver quelques fétichistes, ce monde est cruel, il te reste le cynisme. Tu ne nais pas dans l'amour, enfoiré, on t'éduque à la honte, on t'éduque à la haine, on s'habitue à tout, on t'apprend qu'être aimé se mérite"

"C'est toujours les mêmes fils de putains qui ramassent, le savoir se perd car tout l'monde parle trop, j'ai ouvert moins de bouquins que de balle-trous"

"Des figures s'enchaînent mais des souvenirs m'enchaînent"

"Aujourd'hui, c'est huit mille euros vingt minutes ; quoi ? Comment ça, "c'est trop" ?Qu'est-ce que t'insinues, hein ? C'est toi qui les mérites ? Pétasse envieuse, mets-la en veilleuse"

"Lorsque l'on m'adore, je m'enfuis, c'est pour ça qu'je fixe le plafond"

"Il faut qu'tu sauves la planète parce que, c'est sûr, c'est ta faute. Té-ma ton pot d'échappement, eh, té-ma ton déodorant. Tu mets l'carton dans la verte, la pollution, c'est ta faute et, l'réchauffement, c'est la chatte à ta mère. Ce monde est cruel et culpabilisant"

"J'suis serein quand j'suis tout seul, leur seum me déboussole, je sais qu'j'suis pas tout seul, fait qu'j'suis serein quand j'suis tout seul"

"J'ai appris à aimer dans les chiottes du lycée catholique. Suikon Blaz derrière la porte qui disait : V, dépêche-toi, j'ai la colique"

"Nous contre eux, c'est comme s'ils s'battaient contre la génétique, dis-moi c'qu'ils vont faire, à part appeler les flics, aller sur YouTube et commenter négatif"

"Pour l'unité, faut des ennemis communs"

"Je multiplie les p'tits pains, je n'l'appelle pas, j'sais qu'il vient"

"Aucun rapport protégé, pour faire la fête, faut des g, ton mélange est trop léger, tu m'as pris pour un gros pédé"

"Marre d'être prise pour un objet qu'on prend pour vendre un autre objet, marre des allusions obscènes qu'on fait sur ses formes ou sur ses projets. Ouais, y'a un cœur derrière le décolleté, y'a même encore des rêves d'écolière"

"Je suis toi, tu es moi, je sors même de ta mère"

"On se sentirait presque en liberté, j'vais pas mentir, j'en tire d'la fierté, j'braque ces braqueurs, j'suis Jacques Mesrinisé, contre le salariat, j'suis immunisé"

"On dira dans la presse que c'est à cause de la hess, qu'on était des sauvages, des otages du naufrage"

"J'me rappelle d'eux à l'ancienne, quand sourire, c'était plus facile, quand mourir me faisait peur, quand Forrest Gump me brisait l'cœur"

"Dans la rue ou au QG, le sourire est lié au budget. Le Malin vient d'me posséder ; au Moyen-Âge, j'serais au bûcher"

"Vas-y, moi aussi, j'vais louer la Tour Eiffel, j'crie "V. A. L." partout comme si j''tais DZ"

"L'avenir n'est pas sélectif, du point d'vue des mines, le mien n'est pas clair mais j'veux qu'tu le suives, ton cœur pourri par terre, je veux qu'tu l'essuies"

"Quand je blackout, c'est chiant ; pardonne-moi si j'tais méchant"

"J'peux plus me voir, seul, je me lasse, j'vais m'suicider, je me menace"

"On dira quoi aux gosses ? Qu'on a bien essayé ? Nan, faudra pas bégayer"

"Qu'est-c'qu'ils vont faire ? Me briser le cœur ? C'est bon, y'a rien dedans"

"Ce monde est cruel, fais ton argent, ferme ta gueule. Parlons du bénéf', même si les mots n'ont pas d'valeur. Ce monde est si cruel, c'est sûr que ces gens viennent d'ailleurs, je rêve de leur planète, la main sous l'fusil mitrailleur'"

"Tu n'sais pas encore l'enfer qui t'attend, le regard des uns, le rejet des autres"

"J'les vois, les autres qui rient, j'me demande s'ils ont compris. La fin du monde est proche, et, moi, j'suis tellement loin d'mes proches"

"Mais quand j'achète, ça fait bosser les p'tits ; le légaliser, ça ferait chômer les flics"

"Là, j'ai mélangé différentes molécules, fait que j'repense à tout c'qu'on aurait pu, on perd des photos, on perd pas les blessures, on perd les potos, on perd pas les rayures"

"La fortune du Qatar pour trouver la paix comme Kurt Cobain, je vais trouver la voie ou m'faire kidnapper dans un Merco Benz. J'suis pas là, j'suis en quête ; comme j'suis pas là, elle enquête"

"C’est la kermesse, on a réduit à une boucle de ceinture la sagesse d’Hermès"

"Comme Léon, j'suis dans l'nettoyage, un genre de pro d'l'hygiène, j'me balade en slip, défoncé à mort comme un aborigène"

"Possédé par des entités qui vibrent très bas ; mes anges, mes démons qui s'embrouillent : j'peux pas suivre le débat"

"Bébé, m’en veux pas, j’ai autre chose à foutre que d’t’envoyer SMS, y'a plein d’trucs dans ton cul qui n’devraient pas y être comme matraque de CRS"

"Ils écoutent le JT mais n'veulent pas croire à la magie"

"J’ai vu tous les Lie to me, t’essaies de m’la faire à l’envers, j'ai repéré ta fossette"

"J'ai vis-à-vis sur l'enfer, j'vis ma vie sans m'en faire, j'sais qu'la suite c'est l'Eden"

"On efface tout quand je crache, j'ai trempé ma bite dans un pot d'Tipp-Ex"

"Combien de larmes étaient fausses ? Ça fait longtemps que tu t'armais d'émotion, pour me faire pitié, saloperie d'putain, c'est toi le démon"

"Si mes désirs changent, faudrait quand même qu'un jour, j'arrive à bien m'aimer"

"C'est quoi l'pouvoir quand l'Président, c'est la plus grande salope du pays ?"

"J't'en prie, ne m'déteste pas, le temps file. J't'ai mis d'côté quelques fois, souvenirs enfouis quelque part, je m'enfuis, je m'déteste car je t'emprisonne"

"J'ai tellement de chance à côté des autres, j'trouve ça tellement cruel, hein. Comment ça ? Dieu donnerait de la chance, du talent à certains, pas à d'autres ? Ça, ça m'rend parano, je sais plus si j'me suis entraîné, si, tout ça, j'le mérite, si l'univers était avec moi ou si ça fait dix ans que j'me bats"

"Deviens génial, fais-les t'envier, fais-les t'regarder, fais-les trembler, fais-les rêver"

"Je t'aime encore en levrette, je t'aime encore en secret"

"J'peux continuer à sourire, faire semblant qu'c'est l'paradise"

"On va t'baiser deux fois comme une meuf raciste même si, toi, je baise pas, je t’exorcise. Tes  démons : fondation que j'extermine, extrême ligne"

"L'argent, ça démolit l'cœur ; quand ça manque, ça démolit l'cul"

"Pourquoi tu nous fais ça ? Babe. J'espère encore que c'la peut s'arranger, qu'après la guerre, tu pillaves en fait. C'était quelqu'un d'autre qui t'montait la tête, c'est bon, t'as compris, maintenant tu regrettes, j'espère encore me tromper, comme je t'ai toujours trompée, hein"

"J'roule un pilon, j'pète une canette, comme Jul, j'parle des détails, j'fais pas l'fou"

"J'vais faire l'million sans chignon et sans serre-tête"

"J'arrive sur eux comme un missile, m'auto-détruire, c'est un plaisir"

"Mais quand j'me déteste, c'est pas d'l'humilité, non, c'est qu'mes démons se sont multipliés, j'suis mal dans ma peau, comme un ado' boutonneux, ça va rien changer, ma gueule sous la couronne"

"J'leur fais du mal, pourtant, elles r'viennent, parce que j'leur fais trop de bien quand j'entertain"

" J'veux être ivre, demain ne compte pas, pourquoi la vie devrait être un combat ?"

"Je t'aime, salope, tu m'attires, j'ai toujours doigt sur ton clit', j'crois qu'ta chatte est pute à clics"

"À force de l'lire, j'finis par croire qu'à force de l'dire, j'finis par l'être"

"J'me souviens des rires, j'me souviens plus de toi"

"Si tu l'fais pas, moi, je l'fais ; si tu l'sais pas, moi, je l'sais comme si j'étais sorti d'H.E.C"

"On n'arrête pas frère, on continue avec moins d'amis"