« Seul devant Ibliss, maman me dit : « mon fils, t’es un homme ». J’étais sans réponse, et puis le sang qui glisse, sur mon visage. C’est qu’le mal est fait, mais ça m’a pas aidé, d’écouter ma rage »

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« Seul devant Ibliss, maman me dit : « mon fils, t’es un homme ». J’étais sans réponse, et puis le sang qui glisse, sur mon visage. C’est qu’le mal est fait, mais ça m’a pas aidé, d’écouter ma rage »

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