« De la primaire au lycée, déprimé, je me sentais prisonnier, parce que les professeurs voulaient toujours me noter. Pourtant, j’aimais les cours, j’étais différent de tous ceux qui me disaient : « Soit tu subis, soit tu mets les coups » « 

Publié

le

« De la primaire au lycée, déprimé, je me sentais prisonnier,
parce que les professeurs voulaient toujours me noter.
Pourtant, j’aimais les cours, j’étais différent
de tous ceux qui me disaient : « Soit tu subis, soit tu mets les coups » « 

Tendances

Quitter la version mobile